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Place de l’art public : artistes, commanditaires et statut des œuvres

La proportion d’œuvres qui peuvent être considérées comme de l’art public est loin d’être négligeable. Si l’on envisage toutes les possibilités de mise en public des œuvres, depuis celles destinées à édifier les croyants, jusqu’à la pratique muséale, le ratio œuvres publiques/œuvres privées fait très clairement penser que la part des œuvres destinées à un cadre strictement privé n’est pas majoritaire. Il est probable que tout le monde passe chaque jour devant une œuvre dans l’espace public, qu’il s’agisse d’un monument commémoratif, de la statue d’un personnage historique ou encore d’un mur peint : toutes ces œuvres relèvent de la catégorie de l’art public. C’est-à-dire d’œuvres créées pour être installées dans un espace public et qui peuvent être vues par tous les passants, les voyageurs, les usagers, les citoyens qui s’y trouvent… Dans ce document, nous bornerons nos investigations aux œuvres mises à la disposition du public, c’est-à-dire qui peuvent être en contact avec le public, sans que ce dernier ne les recherche explicitement. Pour autant, le sujet demeure vaste, car cet art dans l’espace public est extrêmement divers, que l’on regarde les lieux où il se déploie, les conditions dans lesquelles il est rendu possible, les formes esthétiques qu’il prend et les propos qu’il tient.

La démarche GRAND LYON VISION CULTURE vise à accompagner la Communauté urbaine de Lyon dans sa réflexion culturelle, à savoir :

  • construire et partager une approche commune de la culture ; alors que celle-ci est de plus en plus présente dans tous les compartiments de la vie sociale ;
  • enrichir les projets actuels et futurs du Grand Lyon, notamment en matière d’événements d’agglomération ;
  • imaginer des modes de relation innovants du Grand Lyon avec les artistes dans le cadre de différentes politiques : urbanisme, participation citoyenne, développement économique, etc.

Dans quelle mesure les artistes peuvent-ils contribuer à une société de la connaissance et à la vitalité de la vie urbaine ? Comment les repérer et les solliciter ? Comment les associer à des dispositifs de politiques publiques ?

Cette démarche est scandée par des rencontres élus, experts-professionnels. Chaque rencontre est introduite par un document de cadrage semblable à celui-ci. Pierre-Alain Four nous fait le plaisir de nous transmettre ce matin le document de cadrage de la 7ème rencontre qui aura lieu le 19 novembre prochain.

Vous pouvez consulter et télécharger ce document dans notre box Ressources.

L’ensemble des documents relatifs à ce cycle destiné à préparer le Grand Lyon à intervenir dans le champ culturel se trouve sur le site millénaire 3 :

 

 

 

 

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L’artiste engagé dans la Politique de la ville : les nouvelles règles du « je »

Cinquième chapitre de notre série de publications issues des rencontres débats passionnants qui ont eu lieu au sein du Grand Lyon dans le cadre du cycle de rencontres « Grand Lyon Vision Culture » et dont son concepteur Pierre-Alain Four* nous fait l’honneur et l’amitié de nous autoriser la diffusion. Ce cinquième déjeuner-débat se focalise sur la contribution des artistes à la Politique de la ville.

Alors que le Grand Lyon intervient largement sur la ville, dans ses composantes socio-économiques et urbanistiques, quel regard peut-on porter sur les actions qui font appel à des artistes, dans le cadre de la Politique de la ville ?

Entre 2007 et 2009, environ 80 quartiers y sont inscrits à divers titres. Tous ont, outre les actions de développement sur les questions économiques, éducatives, sociales, etc., vu ces interventions complétées ou appuyées par la présence d’équipes artistiques. Ce Volet culture de la Politique de la ville pose de très nombreuses questions, dans des domaines divers. Mais tout d’abord, on est tenté de s’interroger sur sa genèse : comment en est-on arrivé à solliciter, puis à intégrer des artistes dans des dispositifs qui font du développement dans les quartiers en difficulté ? On verra que les prémisses de cette politique puisent à diverses sources, qui s’unifient sous le signe d’un remarquable volontarisme.

Pour consulter le rapport en ligne, cliquez ici. Vous pouvez également le télécharger dans notre box « Ressources ».

Pour consulter le chapitres précédents : chapitre 1chapitre 2chapitre 3chapitre 4.

*Docteur en sciences politiques (IEP de Paris), Pierre-Alain Four, a été chercheur associé au Pacte-CNRS (IEP de Grenoble) et est membre fondateur de l’Association pour la promotion et l’organisation de la recherche en sciences sociales (Aporss), puis de FRV100. Il a notamment travaillé sur les Fonds régionaux d’art contemporain (Frac), la vie intellectuelle en province et d’une manière générale sur de nombreuses questions culturelles et artistiques. Il a notamment analysé les relations entre artistes et amateurs, et la place des artistes insérés dans des dispositifs de politique publique éloignés de leur champ professionnel d’origine (politique de la ville par exemple). Il a aussi été chargé de cours à l’Université de Montpellier III, à l’école des Beaux-Arts de La Réunion, à l’université Lyon2, etc. Il est actuellement veilleur culture pour la DPSA où entre autre missions, il anime et conçoit le cycle Grand Lyon Vision Culture.

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Dallas, la longue métamorphose

Depuis longtemps, la ville de Dallas désire être à tout prix une cité de classe mondiale. Or ceci nécessite un certain nombre de « pré-requis », tout particulièrement aux Etats-Unis où les contrastes entre les villes à fort rayonnement mettent la barre très haut pour les autres villes qui veulent entrer dans cette catégorie. Tant que vous n’avez pas la panoplie complète d’une destination américaine culturelle majeure (des gratte-ciels, une franchise à la NFL et de graves problèmes d’embouteillages… ), vous n’êtes qu’une « Palookaville », un espace qui se caractérise par sa vacuité, voire sa stupidité. C’est dire toute l’arrogance de la compétition entre les territoires aux USA.

Dallas figure parmi les villes qui n’ont pas jeté l’éponge pour autant, malgré une réputation difficile qui lui colle à la peau depuis toujours ou presque. Elle tente en effet depuis plusieurs années en mettre cohérence un ambitieux district artistique, grâce notamment à un ensemble de musées, théâtres et opéra conçus par les plus grandes stars de l’architecture mondiale. Tout récemment, la ville a fêté l’ouverture des deux dernières pièces manquantes à son puzzle stratégique : le théâtre Dee et Charles Wyly et l’opéra Margot et Bill Winspear. L’un est le fruit de la collaboration entre Rem Koolhaas et Joshua Prince-Ramus et le second est signé Norman Foster.

Si les bâtiments sont très dissemblables, chacun contribue à sa manière à brillamment compléter le dispositif que la ville cherche à mettre en place. Il aura fallu un peu plus de trente ans pour combler les manques de ce district des arts issue d’une idée un peu folle en 1977. Entendez par district un territoire « cluster », où toutes les compétences et les infrastructures sont réunies pour développer une industrie particulière, transversale à toute l’économie et la stratégie d’un territoire.

L’idée de ce district a en effet germé dans le plan stratégique de 1977 et a failli être immédiatement abandonnée lorsque la levée de fonds nécessaires à se mise en œuvre fut rejetée au moment de son vote. La première phase ne put être achevée qu’en 1984 avec le Dallas Museum of Art (conçu par Edward Larrabee Barnes). Il fallu ensuite plus de 5 ans supplémentaires pour voir débuter l’opération du Meyerson Symphony Center (création pour le moins radicale de I.M. Pei). Puis ce fut à nouveau la traversée du désert jusqu’en 2003 où fut inauguré l’extraordinaire (au sens propre du terme) Nasher Sculpture Center signé Renzo Piano.

Cette progression en longues étapes est malgré tout loin d’être un désavantage pour le développement de ce district d’un peu plus de 27 hectares assez fragmentés. Car on constate en l’occurrence que cela a permis d’éviter de produire un effet « palais » culturels figés dans leur temps, ce qui caractérise par exemple de manière frappante le Lincoln Center for the Performing Arts de New York.

Dallas a su assembler une grande diversité de bâtiments issus du meilleur de l’architecture des trente dernières années et peut se lancer dans la grande compétition de l’attractivité internationale des villes à fort rayonnement culturel. Cette catégorie des cités de premier plan atteint aujourd’hui un certain niveau de maturité un peu partout dans le monde, y compris dans les pays considérés comme émergents. C’est d’ailleurs là que le bât blesse pour les métropoles européennes : les stratégies les plus ambitieuses et les plus récentes trouvent leurs exemples les plus flagrants aux Emirats, en Chine, au Brésil, en Asie du Sud-Est et en Amérique du Nord, ce qui n’est et ne sera pas non plus sans effet sur les flux touristiques.

Dallas entre donc dans la danse, forte de l’expérience accumulée dans le temps d’architectures spectaculaires et attractives par leur innovation formelle et technique. Elle se paie luxe d’un effet Guggenheim sans le Guggenheim en question, chose qui du point de vue purement touristique était encore impensable il y a peu de temps dans cette partie des Etats-Unis. La sagesse du plan stratégique de ce district des arts va plus loin que ce que l’on pourrait qualifier de politique centrée sur l’investissement puisque la ville a tout prévu, en allant jusqu’à faire appel à des techniques du marketing devenues plus fines (plus intuitives, mieux adaptées au fait culturel), à des compétences en la matière (les directeurs des différents sites mentionnées savent parfaitement leur rôle que leur établissement doit jouer dans la société d’aujourd’hui) qui contribuent massivement à l’effort de développement. Cette gestion des ressources permet de créer les conditions d’une politique touristique maîtrisée qui ne tardera pas à porter ses fruits et Dallas va sans aucun doute figurer parmi les prochaines villes américaines à sa tailler la part du lion dans la compétition effrénée des grandes villes culturelles dans le monde.

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Villes et événements / 2

Lille2004En décembre 2008, nous relations la tenue d’une journée passionnante de l’AGF (Association de Géographes Français) consacrée à la thématique de « L’événementiel et les villes touristiques ». Nous vous informons désormais de la toute récente parution des actes de cette journée. Il  s’agit du numéro 3/2009 du BAGF (Bulletin de l’association).

Les commandes peuvent se faire par courrier électronique (assogeo@wanadoo.fr contact Madame Monique LEPRETTE) ou postal auprès de l’Association à l’adresse postale suivante :

AGF Association de Géographes Français / Institut de Géographie / A l’attention de Madame M. Leprette / 190, rue Saint-Jacques / 75 005 – Paris

Le prix au numéro est de 25 €, les frais de port ne sont pas facturés. Règlement par chèque à libeller à l’ordre de l’Association de Géographes Français.

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Banlieues d’Europe

  • Inscrit dans la perspective des 16èmes rencontres, le prochain rendez-vous de Banlieues d’Europe aura lieu le 25 mai à 18h, dans ses locaux, autour de La ville invisible.


Il réunira deux acteurs qui mènent des projets à l’est de l’Europe : Silvia Cazacu, fondatrice et directrice de Banlieues d’Europ’Est (Bucarest, Roumanie) et Érick Gudimard, co-fondateur et directeur des Ateliers de l’Image (Marseille, France). 
Atelier de création sur la représentation des territoires à Marseille, La ville invisible a été créé par les Ateliers de l’Image en 2001. Il s’agit à travers la photo, le son ou la vidéo de proposer différentes manières d’être dans la ville. À l’origine de son existence, une expérience menée à Prague, il y a 15 ans. Les interventions, suivies d’échanges avec les participants, aborderont la question du Comment, face aux mutations urbaines, à l’ouest comme à l’est de l’Europe, peut-on avoir une approche diversifiée de la ville ?


L’entrée est libre mais le nombre de places étant limité, il est conseillé de réserver par courriel à : inscriptions.banlieuesdeurope@gmail.com ou par téléphone au : 04 72 60 97 80.
L’entrée se fait par le 2, rue d’Arménie, Lyon 3ème.
Ce rendez-vous sera également l’occasion de fêter l’ouverture du centre de ressources de Banlieues d’Europe.


Contact : Banlieues d’Europe, 271, rue Vendôme, 69003 Lyon (04 72 60 97 80 – banlieues.deurope@wanadoo.frwww.banlieues-europe.com )

 

Organisée en partenariat avec Banlieues d’Europ’Est, cette rencontre s’ouvrira, le 26 à 15h, par des interventions autour du thème Résistances et témoignages. Le thème de la journée du lendemain, De nouvelles dimensions culturelles, se déclinera en cinq débats : Nouveaux lieux, nouvelles démarches ; Nouveaux rapports à l’espace public ; Nouvelles approches des populations ; Résistances actuelles ; Échanges est-ouest et mobilité artistique.
L’inscription, gratuite, se fait par courriel avant le 15 juin : banlieues.deurope@wanadoo.fr

Contact : Banlieues d’Europe, 271, rue Vendôme, 69003 Lyon (04 72 60 97 80 – www.banlieues-europe.com )

Source : Ministère de la Culture et de la Communication.

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U-Turm

U-TurmA l’horizon 2010, Dortmund inaugurera un Centre créatif européen qui va être sans aucun doute l’une des attractions de la Ruhr, région capitale européenne de la culture en 2010. Ce nouveau centre sera le fruit de la réhabilitation de l’ancienne brasserie « Dortmunder Union ».

La « U-Turm » (Tour U) appartient aux bâtiments en béton armé et en briques d’une ancienne brasserie proche de la gare. Cet édifice industriel de 67 mètres de haut est destiné à se transformer sous peu en un temple moderne de la culture, pour un budget de 46 millions d’euros.

D’ici à 2010 c’est donc un « Centre d’art et de créativité » qui verra le jour. Les centaines de milliers de visiteurs attendus pour l’Année européenne de la culture 2010, pourront admirer une démarche exemplaire de promotion de la culture dans le patrimoine industriel.

Ces entrepôts datant de 1927 doivent leur nouveau nom à un « U » de neuf mètres de haut à bords dorés qui décore son toit, vestige de l’ancienne brasserie « Dortmunder Union ». En activité jusque dans les années 1990, l’édifice aux proportions colossales fut classé au patrimoine local juste après sa fermeture et attendait depuis que les responsables politiques statuent sur son sort.

La décision a été prise fin février dernier : la moitié du budget nécessaire pour les importants travaux de transformation viendra de l’Union européenne, 30 % de la ville de Dortmund et 20 % du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie.

Pour la capitale européenne de la culture, le « U » de Dortmund sera l’un des principaux symboles d’avenir.

« La Tour U nous permet de conserver un ancien emblème de notre ville qui obtient ainsi une nouvelle perspective », assure le maire de Dortmund, M. Gerhard Langemeyer, l’un des principaux défenseurs du projet.

Les abords du « U » vont également faire peau neuve : sur une surface de 5,4 hectares entourant la Tour, il y aura un « Center for Creative Industries », un lycée technique pour les métiers des médias et un nouveau centre d’accueil des visiteurs de l’office du tourisme de la Ruhr.

C’est le bureau d’architectes du professeur Eckhard Gerber, de Dortmund, qui a décroché l’appel d’offres de la réhabilitation de la Tour U.

Ses projets prévoient qu’un espace de passage appelé « Verticale » à l’intérieur relie le rez-de-chaussée aux sept étages jusqu’à un espace « cathédrale » de huit mètres de haut surplombant le tout. Dans cet espace libre, les visiteurs pourront laisser leur regard plonger à 40 mètres. Chaque étage proposera 1400 à 1600 mètres carrés de surface.

De quoi réaliser l’objectif ambitieux de réunir sous un même toit « l’art, la culture, l’économie, les sciences et les médias ». La Tour U abritera notamment le nouvel « Institut d’études d’images animées » du cinéaste de Dortmund et professeur d’université Adolf Winkelmann. Deux étages seront réservés aux collection du musée « am Ostwall » de Dortmund, dédié à l’art du 20ème et 21ème siècle.

A noter que le laboratoire d’art des médias « Futurelab » de l’Ars Electronica Center de Linz devrait y ouvrir une dépendance et que l’association artistique « Dortmunder Hartware MedienKunstVerein » devrait également emménager dans la Tour. Sans oublier un « Centre d’éducation culturelle » consacré à l’éveil de la créativité des enfants et adolescents.

La Tour U abritera aussi la rédaction du cyber-magazine « Channel 2010 ». Le rez-de-chaussée accueillera des magasins, des restaurants et cafés ainsi qu’une salle de conférences. Un étage est prévu pour des expositions itinérantes et des présentations.

Pour plus d’informations, cliquez ici.

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Culture et politique de la ville

Christine Albanel, ministre de la Culture et de la Communication, a adressé, le 25 février, à l’ensemble des Directions régionales des affaires culturelles, une circulaire spécifique afin de rappeler et préciser les principes d’intervention du ministère dans le cadre de la politique de la ville, et lancé et précisé les modalités de fonctionnement d’un appel à projets national « Pour une dynamique culturelle dans les quartiers ». Cet appel à projets s’inscrit dans le Programme d’action triennal 2009-2011 du ministère de la Culture et de la Communication dans le cadre de la Dynamique Espoir Banlieues. Lancé au plus près des territoires de la politique de la ville, il vise, en priorité, les 215 quartiers de la Dynamique Espoir Banlieues et doit permettre de soutenir des actions innovantes et exemplaires en matière de développement culturel dans les quartiers. Il couvre l’ensemble des secteurs artistiques. Il « s’adresse en priorité aux porteurs de projets (structures de proximité, artistes, collectifs, associations) travaillant à destination des populations des territoires prioritaires et en capacité de porter des actions innovantes. » (extrait de l’appel à projets) L’ensemble de ces dispositions illustrent l’engagement pris par le ministère de la Culture et de la Communication lors du Comité interministériel des villes du 20 janvier. Vous retrouverez l’ensemble de ces textes sur le site du ministère, en page d’accueil du dossier Culture et politique de la ville.

Source : Ministère de la culture et de la communication.

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